Salutations, quelques pensees improvisees lors de mes rencontres ou pour pallier aux journees solitaires, il n'y a pas d'ordre precis, il en faut peu pour etre heureux et encore moins pour etre libre !
Faites gaf, certaines blagues ne fonctionnent qu'en les lisant de vive voix !
- FINCH : Finch moi le camp d'ici !
- Manger des chokella allonge, c'est chaud calle
- Les tiques sont vraiment problematiques et dramatiques !
- La problematique de l'enjeu climatique, est avant tout la tique !
- Ca fait chier d'avoir envie de chier
- Etre en paix, c'est aussi savoir se relacher
- Une chevre alpine avait perdu sa famille, elle etait en transition vers un retour sauvage et belait tous les soirs au sommet d'une falaise, elle m'empechait de m'endormir, bien que je comprenais sa souffrance, alors je lui criais : Tu vas me rendre chevre !
- Samsung ca me soule !
- Amalgames : Bas de gammes
- Aire de retournement, l'endroit ideale pour passer un moment avec sa partenaire !
- Pays bas alors qu'ils sont en haut ?
- Couper du bouleau c'est du boulot !
- Le jeune nous rend jeune !
- Un chat etait allonge avec un air relache et un regard au plus bas, comme s'il etait deprime, alors naturellement je lui ai demande involontairement, dis donc, chat va pas ?
- J'apprecie Vitalba, mais j'aurais ete d'avantage rassure si elle s'etait appelee Vitalhaut
- Les salsepareilles ne sont pas toutes pareilles !
- Les acides animes sont necessaires pour animer notre organisme !
- Ils ont enfin innove le TGV inoui, c est carrement inoui !
- La dentiste m informe qu a force de triturer le nerf de ma dent, cela va la rendre de plus en plus sensible, alors je lui reponds : J espere que ca ne le rendra pas trop nerveux !
- (Mesdames et monsieurs, votre TGV a destination de ... est ouvert, veuillez vous orienter au quai d embarquement)
Pourtant, arrive sur le quai le train etait bleu, ce sont vraiment des nuls !
- Omio fait au mieux pour nous rendre service !
- On entend toujours parler du machetachaussette dans les films americains, mais pour qui se prennent ils a nous parler ainsi ?
- Un acces vachier est bien plus pertinent que ca en a l'air, va chier !
- Tiens un faucon, tiens en dessous il y a aussi un vraicon !
- Paufiner le peu qu il me reste a faire, quand je n ai rien a faire, c est le mieux qu il me reste a faire
- RED est beaucoup trop raide sur ses offres internet !
- C est fou a quel point le sucre finit toujours par m appeller, meme loin de tout, dans des alpages euphorisants, il ne cesse de m appeller alors qu il n y a pourtant pas le moindre reseau !
- Une histoire vecue et romancee, plutot euphorique (Si vous n'avez pas bien compris l'histoire, relisez la avec concentration), dire qu'il s'agit d'une histoire vecue, je ne sais pas, mais si c'est une histoire, alors je vous laisse tout le plaisir d'en demeler la myrtille cachee !
- Grace aux noix, on vit a vie !
- J avais l'occasion de manger lors d une periode de jeune, mais tout compte fait j'ai songe qu il ne fallait surtout pas que je dejeune !!
La myrtille est d'ailleurs ce qui m'a enmene au loin du rivage sur lequel une fille coulait, telle une algue stagnante au dessus du lac de l'infini ... Lac de l'infini ?
Le lac qui se trouvait au milieu meme de la reserve restante du desastre de l'imagination que seul mon semblable aurait pu envisager ... Un semblable qui n'aurait souhaite que de se delecter de cette creature, son sommeil translucide devoilait les mysteres de sa pretention, son odeur, son regard, son souffle, sa lumiere, son propre semblable endormi ...
Je ne savais guere quoi penser de l'endroit dans lequel seules les plantes avaient leur place, et pourtant, la lueur qui se degageait de la masse environnante, m'eblouissait autant qu'elle pouvait l'etre elle meme dans les reves de la famille qui l'observait en suspend.
Chaque pas, chaque ricochet, parfumait l'eau dans laquelle seule l'imagination avait de place, il en etait de meme pour la suite de chaque espece, qui allait et venait pour s'ennivrer du doux baiser de leurs semblables vivants non loin de l'infinie ouverture que leur devoilait leur propre imagination ...
L'eau restante se comptait en goute, et meme ces goutes ne pouvaient pas couler avec autant de volupte que celle qui enveloppait cette fille !
Neanmoins, le sable irritait mon contact aupres d'elle et je ne voulais pas perturber son repos ni celui de nos semblables terrestres et aquatiques, volatiles aussi d'ailleurs.
C'est lorsque l'asteroide que j'avais imagine au dessus du lac etait positionne de la meme facon qu'elle, que j'ai compris l'ampleur de la realite, si mon imagination avait ete identique a celle d'un desastre obscure que seul un dealeur aurait pu maitriser, je n'aurais pas pu concevoir l'infinie onctuosite du silence dans lequel nous etions tous heberges, et particulierement nos semblables et moi ...
Chaque goute se deplacait en fonction de la couleur que pouvait produire l'asteroide quand celui ci etait en deplacement entre l'ouverture infinie et la fermeture alternative. Un phenomene que je ne comprenais pas moi meme mais qui avait le merite d'etre bien plus reel que nos semblables passifs ^^
Bien qu'un jour, je me demandais si la raison de la realite de l'atmosphere dans lequel nous naissons, etait differente du reve dans lequel je l'ai vu, car meme les ecailles du delicieux liquide qui s'en impregnait, n'etaient pas celles d'un serpent ni celles de mon propre semblable, pourtant la raison qui m'avait enmene au bout du meme periple que le reste des vivants, etait elle tres similaire a la noyade de cette fille dans la riviere ... Alors que doit on comprendre ? Que doit on envisager ? Que doit on concevoir ? Que doit on nier ou accepter ? Que devons nous eprouver ?
Que chaque couleur compose la melodie dans le sens de chacune ? Ou inversement ? Ou encore que meme l'asteroide indecis n'a pas plus de pouvoir que j'en ai sur le reste de mes propres decisions ?
Pourtant les rayons solaires sur le sable qui s'effritait autour d'elle, participait pleinement a mon aveuglement dans l'abondante vegetation ... Chaque rayon etait perceptible bien au dela de l'ouverture et la fermeture de part et d'autre de la riviere, le contraste qui s'en degageait, animait la vie deja presente autour de l'asteroide et meme les larmes d'agonie et de joie, ne furent pas dissoutes par les semblables en contemplation, en contemplation de chaque detail, chaque larcin, chaque lapin, chaque pot de vin, chaque requin, chaque boudin, chaque babouin, chaque sapin, chaque galopin, chaque baguette de pain, chaque gredin, ...
Et pour finir, le plus euphorique dans cette histoire, c'est que derriere chaque phase matinale, les etoiles de ses yeux percaient chaque enfant provenant de nos entrailles, celles qui n'etaient pas la a tout moment, sont venus se derouler sous nos pieds boueux et beliqueux ! Et ceux qui ne pouvaient pas rejoindre l'asteroide au moment precis de la naissance du lac, n'avaient que le droit de chanter l'amour du ciel qui les avait bercer dans leur propre imagination et celles de leurs propres semblables ...
Enfin de compte le travail perdurait aussi longtemps que je pu dormir et qu'elle pu vivre, car un sacrifice ne suffira jamais a noyer la moitie des illusions refoulees ...
L'hypocrisie perfide que le plaisir de nos anges nous raconte, n'est que le secret de chaque asteroide coince entres les deux espaces temps !
Les petales qui se posaient sur son visage etaient l'evennement declencheur de chaque espece vegetale et animale qui ne se donnait pas la peine de couler eux memes dans la riviere de pluie ... Le contraste solaire y trouvait sa place et son espace, lui.
Pourtant croyez vous que la martre de nos reves nous enmenerait dans la marre d'une imagination exacerbee et futile ? Il est evident que seuls les cetaces sont capables d'imaginer l'ampleur de notre propre conflit intellectuel, notre propre contradiction face a l'imagination de ceux qui ont ouverts les portes du lac aux alentours de quelques grains de sable. Et bien que tout ce charabia n'est aucune signification concrete, il en resulte un epanouissement de la liberte des mots et de la pensee, une forme d'euphorie du lache prise, de l'abandon de soi et du fil de soie ...
L'eblouissement de chacun de nous, nous menera a nous blotir d'avantage dans les supplices de nos freres et soeurs en quete de savoir et en quete du savoir de l'imagination de leur periple multicolore ... Un periple que meme le grand yeti qui est au ciel ne se souci pas de son interpretation ...
La seule croyance disponible est celle d'un fruit rouge introuvable qui aura enbrumee la voie et meme la voix de l'univers dans lequel nous nageons ... Avec ou sans, peu importe, ce qui compte c'est de ne realiser que le seul sommeil de ta creativite, aussi eblouissante soit elle !